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27.2.13

Inspiration #22 - Joan Jonas

Joan Jonas
Pièce de miroir I (Mirror Piece I), 1969
Tirage chromogénique
101 x 55,6 cm
Solomon R. Guggenheim Museum, Nueva York; pièce acquise grâce aux fonds apportés par le Comité de Photographie 2009.31
© 2010 Joan Jonas

26.2.13

Portfolio Archi // Une balade dans les hauteurs

Le mercury city tower - Moscou - 310,80m
Wisma 46 - Jakarta - 250m
Absolute World Towers -  Canada - 151m
Bakri Tower - Jakarta - 214m
La Torre Agbar - Barcelone - 145 m

18.2.13

Tom Dixon tisse sa toile avec la Etch Web

Etch Light Web by Tom Dixon 2012 (c) Tom Dixon




                             Le designer londonien « star » continue de jouer avec les matières dans sa nouvelle collection. Filandreuse et structuré, on retient les jolies lampes en suspensions toute en légèreté minimaliste. 


 

Etch Light Web by Tom Dixon 2012 (c) Tom Dixon
Etch Light Web by Tom Dixon 2012 (c) Tom Dixon 





Etch Light Web by Tom Dixon 2012 (c) Tom Dixon







12.2.13

Inspiration #18 Adam Martinakis



Adam Martinakis
The Erotic void
150x75 cm / 7 editions
Printed on metallic pearl glossy photo paper, mounted on dibond.
60x60 cm / 77 editions

11.2.13

Scènes d'Intérieurs #1


Scène d’intérieurs et Art contemporain
Le nid et la coquille #1

Farah Atassi
Abandonned office 2010
Huile sur toile 160 x 190 cm

« Au premier coup d’œil jeté sur un intérieur, on sait qu’il y règne de l’amour ou du désespoir »
La cousine bette, Honoré de Balzac, 1846


Architecture intérieure et intérieure de l’architecture


« Car la maison est notre coin du monde. Elle est, on l’a souvent dit notre premier univers. Elle est vraiment un cosmos. Un cosmos dans toute son acceptation du terme. Vue intimement, la plus humble demeure n’est elle pas belle ? Les écrivains de l’humble logis évoquent souvent cet élément de la poétique de l’espace. Mais cette évocation est bien trop succincte. Ayant peu à décrire dans l’humble logis, ils y séjournent guère. Ils caractérisent l’humble logis dans son actualité, sans en vivre vraiment la primitivité, une primitivité qui appartient à tous riches ou pauvres, s’ils acceptent de rêver. »

Gaston Bachelard, La poétique de l’espace p32


A l’heure où la publicité à déshabillé l’homme, l’habitat privé est devenu le vêtement le plus intime de l’homme contemporain. Pénétrer une scène d’intérieur, est devenu l’ultime accession à l’identité. Univers fantasmé et fantasmagorique, où le détail prend tout son sens. Car il est question ici de dépasser la simple description et de parvenir à l’introspection. L’artiste veut en donner l’accès dans un espace qui est habituellement cloisonné temporellement et géographiquement.


Ici, l’espace est simple, dépouillé de toute complexité matériel : espaces de solitudes et de rêveries.

Les outils d’accès ou de fermeture sont ici des outils d’accessibilité déformé et significatif. Pas d’écran à la vue mais des possibilités. Il ne s’agit pas d’accéder à un intérieur (on y est) il s’agit d’entrevoir la possibilité de l’extérieur.

ra'anan levy Crépuscule, 2012. 191 x 248 cm, huile sur toile


Le vide et le plein

Il est question de matière, et de non-matière : Le vide c’est le possible. L’espace est donc une matière de possible. La matière support du vide et de celle de l’homme. Toute les interrogations existentielles se trouvent dans le privée. Les contraintes physiques, murs piliers fenêtres, tout système constructif s’inscrivent comme repères. Et c’est là où le quotidien devrait exister que naît le vide énigmatique et la transposition de soi.

La notion de positionnement est toujours ambiguë. Le doute voulu par l’artiste de placer le spectateur dans l’ignorance de sa position. Pas de point d’encrage mais la sédentarité pourtant est imposée par le fait même d’espace privée. Pourtant la sédentarité est vidé de son sens en perdant celui de sécurité. Les objets sont rares quand il y en a, disposé comme s’ils étaient oubliés, ou bousculés. Ils sont la preuve qu’il y a eu un passage et confirment que l’espace est redevenu vide. L’espace personnelle n’est pas comme on le suppose invulnérable, il est attaqué par sa propre structure.

La scène d’intérieurs contemporaine, nature morte de l’espace privée, est comme une vanité contemporaine elle rappelle la vulnérabilité de l’être par celle de la matière.


7.2.13

Inspiration #16 - David Lachapelle

David Lachapelle - Chanel On Ice

Revue (et corrigé) : Cahier d’Art renait.




        La mythique revue d’art Cahier d’Art a repris connaissance il y a quelques mois (le 18 octobre 2012). Le collectionneur Staffan Ahrenberg a fait le pari de racheter cette revue né en 1926 et crée par Christian Zervos dont le graphisme était pour l ‘époque celui des plus belles revues d’aujourd’hui. Cahier d’Art est une histoire de passion et de passionnés. La nouvelle version n’en est en fait pas vraiment une et les nouveaux acteurs du titre se veulent fidèle à l’objet d’origine : 70 pages consacrés à l’artiste invité et des portfolios d’artistes émergents. Mais c’est beau, très très beau. 






Revue Cahiers d’art 136 pages, broché, 24,5 x 31,5 cm, avec une lithographie
Prix de vente : 60 euros. Disponible à partir du 18 octobre 2012, par abonnement, sur le site internet www.cahiersdart.fr, à la librairie Cahiers d’art et dans une sélection de points de vente internationaux.

5.2.13

58ième édition de la BRAFA à Bruxelles


 

                Pour la dixième année consécutive, la BRAFA vient de prendre fin à Bruxelles. 128 galeries ont une nouvelle fois relevés le défi de cette petite Maastricht et l’épreuve est réussie...sous quelques réserves. Malgré des chiffres de fréquentation en hausses, les achats restent faibles par rapport aux autres foires, notamment celle de la TEFAF. Mais au même titre que cette dernière, la BRAFA est devenu un moment incontournable pour les antiquaires et l’endroit privilégié pour la rencontre entre collectionneurs et galeristes. Entre pièces abordables et pépites quasi muséales, le visiteur est un peu décontenancé par l’éclectisme du salon. Voici un aperçu de cette édition 2013.

Guy de ROUGEMONT
Pop Galerie Diane de Polignac, Sculpture-lampe en édition limitée, nommée, signée et numérotée par l’artiste pour la galerie

Jacques Dubois (1694 – 1763)
Commode, Paris, époque Louis XV, vers 1745-1749.
Bâti de chêne, vernis Martin « façon du Japon » à fond bleu,
bronze doré, marbre brèche d’Alep - 83 x 113,5 x 62 cm
Galerie Steinitz
Photo : Galerie Steinitz

Dansk Møbelkunst
    PK 26
Poul Kjærholm (Øster Vrå 1980-1929 Copenhagen)
Sofa adossable
Créé en 1956
Acier chromé, toile et cuir
H 76 x L 155 x P 76 cm

 Galería Manuel Barbié
Gnomon V, 1986
Eduardo Chillida (San Sebastián, 1924-2002)

La gaelrie parisienne
Man RAY (Philadelphia 1890-1976 Paris)
Optic topic
Surrealist mask in gilt silver
Circa 1974

 Marc Heiremans
Fulvio Bianconi Pezzato Venini Murano

#Inspiration 14 - Peter Struycken

Sculpture des lumières - Peter Struycken, Nederlands